lundi 28 novembre 2011
DÉJEUNER DE FIN D'ANNÉE
vendredi 16 décembre 2011 à 12h30
au Bar de la Marine, 28 rue Achard 33800 Bordeaux (Bacalan)
Chers membres,
vous serez invités à nous faire part de vos envies et idées d'échanges et de visites pour l'année 2012.
Vous pouvez d'ores et déjà vous exprimer sur le blog en nous faisant part de vos souhaits.
Une projection des photos du voyage d'AMO à Madrid accompagnera notre déjeuner.
IL ÉTAIT UNE FOIS DEMAIN
VISITE COMMENTÉE À LA LAMPE TORCHE !
DE L’EXPOSITION HORS LES MURS
d’arc en rêve centre d’architecture
Une coproduction EVENTO 2011 – Bordeaux : l’art pour une ré-évolution urbaine exposition réalisée par arc en rêve centre d’architecture, avec les commissaires invités STEALTH.unlimited avec Emil Jurcan collaboration spéciale pour la scénographie : le bureau baroque assisté de Emmanuelle Jolivet graphisme de la fresque : Studio Tricolore
«Il était une fois demain» met en récit les utopies urbaines qui prennent racine à Bordeaux et se développent en 2030 – année où l’agglomération aura atteint le chiffre magique d’un million d’habitants. Cette fiction prend la forme d’une fresque, qui se déroule selon la vision de STEALTH, avec les mots de Bruce Bégout, interprétée par des graphistes et dessinateurs de BD. Les habitants sont les maîtres d’usage de la cité. Ils déploient des formes d’organisation collective qui inventent la ville au quotidien, et tissent de nouvelles solidarités. Le site des Abattoirs accueille cette exposition, en regard de la Halle Debat-Ponsan remarquable témoignage architectural de l’Entre-deux-guerres.
«Ici on travaille encore», une installation de Isabelle Kraiser & Marc Pichelin, parle de la vie du lieu, qui trouvera bientôt une nouvelle vocation dans le cadre du projet Euratlantique
1 000 000 D'AFFICHES
IMAGINONS BORDEAUX 2050
Pendant toute la durée de l'exposition, un atelier propose aux visiteurs de concevoir une affiche: seul, à deux ou en équipe. Le visiteur est invité à prolonger le jeu de l'interprétation du futur de Bordeaux et de prendre part à la vie de l'exposition en exprimant une parole, une revendication, un souhait …
et vous, quel est votre souhait pour Bordeaux 2050 ?
jeudi 24 novembre 2011
Cycle Architecture et Maîtrise d'Ouvrage - CAMO 2012 - Paris
MAÎTRES D'OUVRAGE
PUBLICS / PRIVÉS
& INDUSTRIELS
Cycle Architecture et Maîtrise d'Ouvrage - CAMO 2012 - Paris
Ce cycle de sensibilisation des maîtres d’ouvrage à la qualité Architecturale initié en 2006 avec la Cité de l’Architecture et du Patrimoine propose des méthodes pour mieux comprendre la qualité architecturale et urbaine et mieux dialoguer avec les architectes. Nous espérons que ce programme retiendra toute votre attention.
INSCRIVEZ-VOUS VITE !!!
lundi 20 juin 2011
Innover pour le patrimoine
Vendredi 17 juin, AMO Aquitaine avait donné rendez-vous à ses adhérents et à ceux de Midi-Pyrénées, aux Eyzies de Tayac en Dordogne, pour y découvrir le Pôle International de la Préhistoire.
lundi 23 mai 2011
Architecture en Aquitaine
Pierre Lajus, 15 décembre 2005
" L’ECOLE BORDELAISE D ‘ARCHITECTURE DES ANNEES 60 / 80 ET LA MAISON INDIVIDUELLE
Il y aurait, dit-on, une « école bordelaise » de l’architecture des années 1960 à 1980.
Si elle existe, c’est certainement autour d’Yves SALIER et d’Adrien COURTOIS qu’elle s’est constituée. Quand je les ai rejoints en 1962, ils s’étaient déjà signalés avec éclat avec la caserne des pompiers de la Bastide, conçue avec leur maître Claude FERRET, et aussi par quelques maisons individuelles d’un modernisme sans concessions.
L’aura de ces deux architectes allait attirer dans leur agence de la rue de Lyon, puis plus tard dans celle de l’avenue Kennedy à Mérignac, de nombreux étudiants que l’enseignement de l’Ecole d’Architecture ne suffisait pas à combler (1). La plus grande partie de l’ »atelier Ferret » de l’époque allait participer à de nombreuse « charrettes » et apprendre en travaillant chez nous le métier d’architecte.
Le collaborateur permanent de l’agence était Michel SADIRAC. Sa compétence professionnelle, acquise au sein de l’agence sans qu’il soit passé par une Ecole d’Architecture, devait être reconnue, sur dossier de références, par le Ministère de la Culture en 1969. Il en sera de même, par la suite, pour six des collaborateurs de l’agence,(2) dont Claude MARTY et Bernard BUHLER seront les plus connus. Sept architectes reconnus auront été ainsi formés par cette seule agence !
Mon agence de la rue François Villon, après 1974, allait susciter le même intérêt chez les étudiants, et voir se succéder de nouvelles générations (3). Celles-ci connaissaient d’autres influences, et notamment celle, très marquante, de Jacques HONDELATTE. Je crois que tous se reconnaissent aujourd’hui comme inscrits dans la même filiation.
Cette agence qui apparaît ainsi comme une véritable « Ecole » avait-elle une doctrine, une théorie particulière de l’architecture ?
Cette question aurait bien fait rigoler Salier, qui se voulait artiste éminent, mais certainement pas intellectuel.
Pourtant, je crois pouvoir dire que cette « école » a diffusé une attitude commune vis-à-vis de l’Architecture, et une pratique originale.
Cette Pratique, c’est celle du Projet et du Chantier étroitement liés que permettait le volume modeste de notre carnet de commande. Les aller-retours rapides entre la table de discussion avec le client, la planche à dessin et les entrepreneurs, dans une ambiance décontractée, ont créé une connivence qui a permis, à mes yeux, une grande créativité.
L’Attitude commune de notre équipe, c’est certainement un engagement militant dans la modernité, une exigence de qualité qui pouvait aller jusqu’au jusqu’au-boutisme, au risque de perdre quelques clients.
C’est aussi l’intérêt privilégié pour trois registres de la création architecturale qui nous paraissaient essentiels ; le rapport au site, la qualité de l’espace architectural et le système constructif.
C’est d’abord dans leur relation au site que s’élaboraient nos projets. Que l’on s’y intègre en ancrant dans le sol une construction massive, ou qu’au contraire on cherche à seulement l’effleurer par quelques pilotis, que l’on impose un contraste fort ou que l’on joue d’une intégration en douceur, c’est toujours cette approche paysagère qui est première.
La qualité de l’espace architectural que nous aimions, et que nous avons voulu faire aimer à nos clients, c’est celle de l’espace ouvert du plan libre de Le Corbusier, disciplinée par l’exemple rigoureux du Bauhaus, mais c’est surtout la fluidité des relations entre l’espace intérieur et celui du dehors que nous avions appris des architectes californiens Richard Neutra, Schindler, Craig Ellwood et bien sûr Franck Lloyd Wright, et aussi des créateurs de l’architecture traditionnelle japonaise.
Faire de l’Architecture, ce n’était pas seulement pour nous faire des projets, c’était aussi construire, et mettre en valeur le système constructif en béton, en bois ou en acier que nous avions choisi. Ce que Jean Prouvé a appelé l’ »intelligence constructive », donner un sens compréhensible à un assemblage harmonieux de poteaux et de poutres, de murs et de planchers, avec le minimum de moyens et d’artifices, c’était notre doctrine implicite.
Notre domaine de prédilection, c’était la maison individuelle, avec le rapport très particulier que ce type de commande instaure entre un ménage , une famille, et l’architecte à qui ils ont choisi de confier la matérialisation de leur rêve d’habitat. Ce travail artisanal, sur mesure, nous aurions rêvé le développer à une échelle plus vaste, pour faire profiter un plus grand nombre d’habitants de nos découvertes, en faisant appel aux techniques de construction industrielle. Nous ne savions pas qu’entre les concepteurs et les usagers, il y avait aussi la loi du marché, et qu’une »maison de maçon » pesait plus lourd qu’une « girolle »…"
Note 1 Patrick MAXWELL et Jean-Claude MOREAU, qui allaient ensuite fonder AGORA avec DUCLOS, HEIM, PAGES et les frères DEBAIG, Michel DEJOS, Antoine MARTINEZ, Jean-Jacques LACAZE et Philippe RICAUD réunis plus tard dans OPUS, Maïté CHANTOISEAU et Patrick FOUQUET, qui deviendra l’associé de SALIER et COURTOIS après mon départ en 1974, Brigitte GONFREVILLE et Michel PETUAUD - LETANG, qui devait inventer la « maison- boulon » après que nous ayons lancé la « Girolle » en 1966…et d’autres que j’oublie.
Note 3 Entre autres Frédéric BROCHET et Daniel BERGUEDIEU, Pierre MAILLAU, Francis GUIEYSSE et Hubert SALADIN, Laurent GOUYOU-BEAUCHAMPS et Jean-Charles ZEBO.
Conseil d'ami !
dimanche 8 mai 2011
Rénovation urbaine, l'expérience du Grand Projet des Villes
jeudi 17 mars 2011
Virtuel dîtes vous ?
Réelle et virtuelle, comment se dessine la ville de demain ?
"Les tendances qui se dessinent pour la ville de demain semblent intégrer le développement de l’urbanisation et l’aménagement d’un cadre de vie qui prend en compte l’humain, ses attentes et ses pratiques. Ce qui induit de nouvelles formes de services (plans de déplacements urbains, accès aux ressources de la ville, pratiques sociales, habitat ...) où le numérique sera au coeur de la vie urbaine.
Dans quelle mesure les réseaux et les outils numériques peuvent-ils contribuer à la cohérence d’un territoire en évitant toute exclusion sociale et des pertes de repères de la ville ? Quelles sont les nouvelles formes de vie et d’organisation sociale qui vont se développer ? Va-t-on vers un renforcement de l’individualité ou vers des formes de sociabilité aux espaces partagés et créateurs de liens sociaux ?" source programme du Théâtre de la Science
mardi 8 février 2011
WORKING & LIVING IN THE CITY OF KNOWLEDGE - BERLIN
mardi 25 janvier 2011
Recherche & Développement
mercredi 5 janvier 2011
2011 !
Inscription obligatoire !